Ce petit journal est un clin d'oeil malicieux à la démocratie locale. Gardons-nous d'oublier la devise républicaine gravée au fronton des mairies et indignons nous avec humour, car la bise électorale se charge régulièrement de balayer devant les portes.

Vos commentaires sont bienvenus s'ils respectent l'esprit de ces lieux.  

Blanche Neige au Pays des Gueules Noires ...

8/6/2014
1 commentaire

Qu'est-ce qui m'a donné l'âme d 'un artiste : c'est l'piston ! Le Chef de Village a dirigé avec brio sa fanfare avant de quitter la grande scène municipale ! Pistons et grosses caisses nous ont joué son célèbre opéra tragi-comique : L'AIR DE LA CALOMNIE, qui restera dans la mémoire électorale.
Il a transmis sa baguette à un nouveau chef de musique .... et prépare son retour dans son meilleur rôle : celui de Blanche Neige. Fort du succès de son premier opus : "les pompes de Blanche Neige", il nous prépare le second : "les fourberies de Blanche Neige".
Nous aurions bien aimé vous faire partager le merveilleux rendu de justice du Juge de l'Election, mais la requérante a un mois pour faire appel ... Sachez qu'au fond, dans ce bas monde, rien n'est important en matière d'élections ! La liste Fauconnet a quand même perdu un point de permis pour dérapage en sortie des urnes !
Quand à nous, mine de rien, nous pensons que cette affaire pourrait bien enchanter un ténor du barreau .....
A suivre ....
Sam'Mine. 

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Commentaires :

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  • Eko Mine dit :
    09/6/2014 à 12h 56min

    La calomnie et la désinformation ne sont pas choses nouvelles en ce monde et parce que votre site comme d’autres, relate avec humour, la vérité, informe, clarifie etc.. (et cela me plait) sur beaucoup de faits et comportements qui touchent cette petite commune !… souvent la calomnie se camoufle sous les traits d'une possible vérité, s'insinuer par petites doses, elle utilise l’orgueil, les réseaux sociaux, ses relations, bien ou mal placées etc.. qui font caisses de résonnance, alors en avant la fanfare ! jouez pipeaux, corne à muse, marre à casse ! ce qui m’a beaucoup fait penser à ce texte de BEAUMARCHAIS,(le Barbier de Séville. Acte II, scène 8) et si le cœur vous en dit : « …Chantez ! » «La calomnie, Monsieur ? Vous ne savez guère ce que vous dédaignez ; j'ai vu les plus honnêtes gens près d'en être accablés. Croyez qu'il n'y a pas de plate méchanceté, pas d'horreurs, pas de conte absurde, qu'on ne fasse adopter aux oisifs d'une grande ville, en s'y prenant bien ; et nous avons ici des gens d'une adresse !... D'abord un bruit léger, rasant le sol comme hirondelle avant l'orage, pianissimo murmure et file, et sème en courant le trait empoisonné. Telle bouche le recueille, et piano, piano vous le glisse en l'oreille adroitement. Le mal est fait, il germe, il rampe, il chemine, et rinforzando de bouche en bouche il va le diable ; puis tout à coup, ne sais comment, vous voyez Calomnie se dresser, siffler, s'enfler, grandir à vue d'œil ; elle s'élance, étend son vol, tourbillonne, enveloppe, arrache, entraîne, éclate et tonne, et devient, grâce au Ciel, un cri général, un crescendo public, un chorus universel de haine et de proscription. Qui diable y résisterait ?" – Associations gardez les valeurs de la vérité, ne vous en laissez pas compter !

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